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THE KILL

RPG HP && the village


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PÉRIODE DE JEU:
Juin 1955
GODRIC'S HOLLOW ● Fin avril 1955, comme chaque année à cette période, le semi-village sorcier s’est afféré tôt pour mettre à l’honneur son sorcier ou chevalier d’autrefois, Ser Godric Gryffondor. Pour l'occasion, concours de tarte à la rhubarbe et flambée de la statut de bois et de paille d'un immense dragon jadis vaincu. (aller à l'intrigue)
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(#) Re: (maxim) + bricàbrac vs. ●
Jeu 14 Aoû - 14:36

MAXIM ALKAEV

sail with me into the darkness.
NOM + Alkaev. Les pages de l'histoire de Russie seront vierges de ce nom, tant leur renommée est moindre. Une famille oubliée, pauvre, issue de l'arrière pays blanc.
PRÉNOM(S) +  De son premier prénom Maxim, qui du latin signifie « le plus grand ». Sergei de son second, mais le peu de personnes en ayant connaissance ne se risquent guère à l'appeler de la sorte.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE + Le 1er mars, alors que la nuit était plus froide que jamais, au cœur de Moscou pétrifiée par la glace.
ÂGE + Vingt-cinq ans. L'on dit souvent qu'il fait plus vieux que son âge, sans nul doute à cause de cet air crispé qui lui a marqué la peau au fil des années.
SANG + Il est issu d'une famille de sang-mêlés, tout ce qu'il existe de plus modeste.
SCOLARITÉ + Ancien élève de l'institut Durmstrang, il a été envoyé chez les Mokop, soulevant d'un même temps l'étonnement général. Cependant, malgré tout ce qui a pu être dit, le garçon avait mérité sa place plus que quiconque.
actualité d
LIEU DE RÉSIDENCE ACTUEL + Il séjourne sur ses terres natales, en Russie, tout près de Durmstrang. À vrai dire, il occupe une petite chambre miteuse, dans le village du bois.
STATUT MARITAL + Il est célibataire, et son cœur est loin d'être à prendre. Plus précisément, il est veuf, ayant perdu son épouse dans la maladie - il porte cependant encore l'alliance de leur mariage.
EMPLOI + Ancien Auror jusqu'à la fin de la guerre contre l'Organisation, il a par la suite abandonné son travail pour fouler de nouveau sa terre natale. Suite à son dévouement pour la Résistance en tant que soldat, il se voit proposer un job de Pacificateur par Jacobson, ce qu'il accepte plus par dépit que par réelle envie.
BAGUETTE + Taillée à partir d'un bois de sapin, elle renferme en son sein un ventricule de cœur de dragon. Mesurant trente point six centimètres, elle est plutôt rigide, adaptée particulièrement à la métamorphose. L'on dit de cette baguette qu'il s'agit de « la baguette du survivant », puisqu'elle porte malchance et périples - elle convient toutefois parfaitement à la détermination et au courage sans faille de Maxim.
PATRONUS + Un loup.
ÉPOUVANTARD + Un dragon.



the lone wolf dies.
when the snows fall and the white winds blow


LE TOURNOI ? + Tu t'en moques. Cela ne te regarde pas ni ne t'intéresse réellement. Tu as déjà vu les horreurs du précédent tournoi, assez pour détourner le regard de celui-ci en faisant mine de ne pas être concerné.
LA COALITION ? + Tu voudrais volontiers croire à un renouveau de ton pays, de ta terre de glace et de sang. C'est tout ce qu'il te reste à espérer, sans doute ton ultime croyance dans ce monde que tu subis.
LE COMPTE À REBOURS ? + Ce ne sont pas tes affaires, encore une fois, et tu t'en fiches éperdument. Le compte à rebours ne te fait pas peur, ni ne t'inquiète seulement. Il est là, et tu continues à tracer ton chemin comme s'il n'existait guère.


DROP OF BLOOD +  L'odeur de la nicotine, de l'herbe roulée, du tabac humide, la flamme qui claque, crépite à ton oreille, les cendres froides tâchant la neige immaculée de leur terne nuance grisâtre, cette fumée âpre et brûlante qui, dans un souffle désinvolte se mue à l'air glacial et s'envole en volutes tourbillonnantes, cette saveur épicée sur ta langue et tes sens qui s'emmêlent, ta voix si rauque, presque sauvage, ton sourire tâché, ta gorge endolorie. Tu les comptes encore sur tes doigts, ces années perdues à tirer tes pauvres bouffées, tes doigts s'y accrochant comme à une dernière chandelle : huit ans. La clope au bec.

Morown qu'il s'appelle. C'était le sien, à elle. Elle l'aimait plus que tout autre chose - parfois tu te demandais même si elle ne l'aimait pas plus que toi. Toi, il t'agaçait, ce crétin de chien. Avec sa fourrure blanche et son regard de cabot avide - maintenant il est gris, sale. Puant. Et elle, elle n'est plus là. T'as tout laissé derrière toi, sauf Morown. Il te suit partout, comme s'il t'avait adopté. Ou plutôt est-ce toi qui le tolère. C'est la dernière chose qu'il te reste d'elle, aussi étrange que cela puisse te paraître. Parfois il t'arrive de lui parler, comme s'il te comprenait - puis tu réalises que toi aussi, t'es un crétin.

Lu l'as perdue, la foi. Tous ces bouquins, ces objets, ces prières ne sont que vains espoirs. Une perte de temps. Au fond de toi-même, tu le seras toujours un peu. Tu auras toujours cette once de croyance, aussi faible sa lueur soit-elle. Parce que tu as été élevé ainsi, dans les traditions familiales russes, et la croyance orthodoxe fait partie de ces traditions, de ces valeurs sûres. Autrefois tu mettais tes agissements et des choix sous le compte de la foi. Désormais tu la négliges, oublies le pardon et la confession. Tu as l'impression qu'Il t'a délaissé. Oublié. Puni.

on another love
All my tears have been used up.


PIECE OF MIND + froid Ϟ distant Ϟ arrogant Ϟ sarcastique Ϟ ironique Ϟ solitaire Ϟ protecteur Ϟ révolutionnaire Ϟ optimiste Ϟ déterminé Ϟ colérique Ϟ brisé Ϟ arrogant Ϟ courageux Ϟ violent Ϟ possessif Ϟ

Il est de ces hommes aux apparences trompeuses. Sans peurs et sans frontières dit-on. Dont le courage n'a pour limites que celles du possible. Dont l'arrogance, sans nom, dépasse tout entendement. Un homme à la stature droite et fière, aux épaules solides, au cœur vaillant. À l'esprit des révolutions. Du changement. Aux espoirs fondés. Au nom inconnu.

Maxim est de ces hommes là. Se protégeant sous cette carapace de platine. On ne le connait guère et son âme est aussi noire et floue que les abysses du monde. Il ne parle pas. Les mots n'ont jamais été son fort, ils lui échappent. Alors il se tait, comme il l'a toujours fait. Son aura n'est que silence, douleur et lente agonie. Les rares paroles qui brisent la barrière de ses lèvres closes sont dures, infâmes, piquantes. Le sarcasme et l'ironie sont ses griffes et ses crocs. Un bête sauvage. Un loup solitaire. Froid. Il s'entoure de glace pour combler les fractures du temps. Brisé, comme un puzzle éparpillé. À l'unique différence qu'il a lui-même égaré les fragments. Il veut être seul - la compagnie n'a guère d'attrait, il n'aime pas les gens, n'éprouve aucune sympathie, n'est pas même capable de la ressentir. Et cette colère. Cette rage qui gronde en lui, sourde et brûlante. Il n'est que pantin à sa propre douleur, soumis aux impulsion de sa pauvre existence qu'il subit. Il n'est plus de ces gens qui réfléchissent, il fonce, percute, bouscule. Mais jamais il ne prend la fuite. Il se protège tout autant qu'il protège les autres. Toujours en se murant dans le silence, et cette moue douloureuse. Toujours sans dire un mot.

wolf blood
the full moon is coming
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Jeu 14 Aoû - 14:36

desolation comes upon the sky.
And tears come streaming down your face when you lose something.


année 2047, avant l'entrée à Durmstrang.
La boue et le sang. Tout n’était que sueur et chimère, labeur et peine. Tu n’avais rien connu d’autre. Une famille oubliée, dans les tréfonds d’une Russie déjà à l’époque agonisante. Une fratrie trop nombreuse, des parents trop pauvres, un sang trop sale. Ton père était de ces gens qui n’avait pas été doté de pouvoirs – un moldu disait-on. Pourtant, lorsque l’on te le demandait, tu te contentais de hausser les épaules. Indifférent. Après tout, nulle était ta faute – comment aurait-ce pu l’être. Il est de ces choses que l’on ne choisi pas, et l’absence de renommée de ta famille en faisait partie, comme bien d’autres choses. Tu as toujours été celui qui ne disait rien, silencieux et immobile face à ce qui vous arrivait. Tu les observais, les autres, faire les choix qu’il fallait, parce que leurs avis étaient justes et qu’il n’était guère nécessaire que tu y participes. Et de ton côté tu te contentais de suivre le chemin qui avait été tracé pour toi, d’accepter ce que ton foutu destin te dictait.

Tu n'avais jamais été capable de comprendre de quoi il en retournait : la Destiné, étrange allégorie qui t'échappait dans son entièreté. Cette entité n'avait jamais eu, en ton sens, quoi que ce soit que tu puisses expliquer convenablement. Tu n'étais qu'un pion sur l'échiquier de la vie – vie que tu pensais maîtriser, dont tu te croyais capable de tirer les ficelles et qui cependant se jouait de toi sans que cela ne te frappe. En réalité, tu étais l'unique pièce défaillante du puzzle ; les voies du Seigneur t'étaient impénétrables plus que d'ordinaire et tu semblais ne point t'en soucier - pourtant, si tu avais pris la peine d'ouvrir les yeux et de laisser s'évader ta restreinte pensée, peut-être aurais-tu aperçu l'éclair de mystère qui flottait autour de toi. Peut-être aurais-tu enfin compris que tu étais sur le point de tout perdre.

« Mauviette ! » Un soupir las s’échappe d’entre tes lèvres et laisses pendre tes bras, penaud, le long de ton corps endoloris. Ils ricanent, de ces rires agaçants qui te vrillent les tympans et te font serrer les dents, de ces rires moqueurs qui te prennent à la gorge, te faisant suffoquer, de ces rires gras. Tu lances ton arme à terre – il suffit. Tu serres les poings, cependant que l’un d’eux se baisse et ramasse ta vieille épée. L’acier est usé, bouffé ici et là par le temps et la rouille, la lame émoussée – elle ne tranche plus depuis ce qui parait être des siècles et pourtant, cette ferraille est plus chère à tes yeux que n’importe quel autre objet de cette antique maison. Chacun en possède une et sans doute est-ce la seule richesse de cette demeure – un éclat de soleil, par cette douce journée d’été, fait briller ton nom, presque effacé, sur le pommeau cabossé. « T’es vraiment qu’une putain de chochotte Max. » Cette fois ils hurlent de rire. « Fermez la. » Il en a toujours été ainsi. Tes frères te menaient la vie dure. Tu étais jeune, trop jeune – et pourtant ne se privaient-ils pas de t’apprendre les arts du combat, et toute sorte d’arme était d’usage. Poings, lames, baguette. On te relance ton épée dont tu te saisis avec aisance.

Façonné pour devenir un soldat. Depuis toujours, ils s’étaient battus à tes côtés, afin que chacun puisse trouver satisfaction à réussir en tant que sorcier, réussir en tant qu’homme. Vous n’étiez fait que pour cela ; préparés pour une guerre qui vous était dès lors inconnue et qui pourtant sonnait déjà redoutablement. Des foutus pions. Des machines à tuer. Et de nouveau, dans la campagne reculée de Russie, l’on perçoit au long le tintement de l’acier qui rugit.

précisions chronologiques de septembre 2047 à décembre 2055.
septembre 2047 : Contre toute attente, Maxim fait son entrée au niveai Mokop à Durmstrang. Cette nouvelle pour le moins étonnante fait bouillir de rage les extrémistes pro sang-pur, et Maxim voit une certaine fierté dans cette victoire, épaulé par ses frères.
septembre 2047 à mai 2052 : Maxim poursuit ses études avec brio à l'institut Durmstrang. Loin d'exceller dans toutes les matières, il se donne cependant corps et âme pour garder la tête hors de l'eau et se révèle être un élève largement correct. Il passe ses petits et grands KREMLINs avec succès, lui ouvrant ainsi la voie à de belles études.
septembre 2052 : Maxim fait son entrée à l'université de Durmstrang et suit la filière DMA, s'assurant ainsi de toucher du doigt le titre de guerrier pour lequel il a été façonné toute son enfance et son adolescence. Il s'y découvre un réel intérêt, et c'est sur le métier d'Auror qu'il finira par porter son choix.
année 2053 : Après avoir validé sa première année en DMA, Maxim est envoyé à Londres afin d'y effectuer son stage d'approfondissement. C'est dans la capitale Londonienne qu'il croisera le chemin d'une belle anglaise nommée Cheasly, étudiante en commerce, dont il tombera éperdument amoureux.
années 2054-2055 : Maxim valide sa deuxième année en DMA et finit ses études par une immersion au Ministère. Après avoir longtemps couru après le charme anglais, il demande la main de Cheasly, qui accepte. Ils se fiancent peu de temps avant le lancement du Tournoi des Trois Sorciers.


décembre 2055.
Tu déglutis. Entre tes doigts fébriles, le papier se froisse, tremble. Une feuille morte. Tu n’oses relever les yeux, comme si, lorsque tu poserais tes iris d’ébène sur le monde qui t’entoure, tout deviendrait réel. Alors tu préfères nier, te murer dans un mutisme égoïste, feindre de ne rien entendre, rien voir. Rien savoir. C’est rassurant en soit, comme un filtre, invisible, qui rendrait ton regard indifférent à toute horreur. Un frisson, ta peau qui fourmille – tu détournes ton visage derrière ton épaule : elle a posé sa main, juste là, paume contre le creux de ton dos. C’est comme une douce brûlure. « Que va-t-on faire ? »

Décembre 2055. Jamais cela ne t’aura paru aussi instable. Tangible. Fragile. Tu te saisis de ses doigts – ils sont froids. Comme le temps dehors. Et l’orage qui approche. Tu sais ce que cela implique. Des décisions. Des choix. Irrévocablement et incontestablement. Pourtant, tu en es incapable. Tu n’en as jamais fait, des choix. Les chemins que tu as empruntés ont toujours été tracés d’avance, et aujourd’hui te retrouves-tu devant une impasse. Perdu. Ton regard d’onyx se perd dans le sien, clair et serein. Tu murmures que tu ne sais rien. Après tout, est-ce seulement la vérité. Tu ne sais pas. Qui ose prétendre savoir. Le vide.
Ton cœur s’accélère, ta tension monte, tu t’essouffles. Comme si tu courais, jusqu’à en perdre haleine. Ni toi, ni elle n’avez idée de ce dans quoi vous vous embarquez. Vous suivez vos idéaux, vos principes. Les valeurs qui vous ont été inculquées. Vous voulez vous battre pour ce que vous croyez juste, contre ce qui vous parait injuste. Mais ensuite ? Rien. « Foreston est manipulé. Tout le Ministère est corrompu. C’en est fini. » Alors en est-ce fini de toi aussi ? Tu aurais envie de la croire elle. Parce que tu l’aimes. Tu fais tourner son alliance autour de son doigt. Votre vie ne tenait qu’à ça, un morceau de ferraille. Comme cette épée de gosse. Plus rien n’avait de sens. Et ta carrière d’Auror, en était-elle finie aussi ? Ce pour quoi tu t’étais battu, corps et âme ? Ce pour quoi tu avais soulevé tant de haine, de jalousie et de soupirs ? Tant de contestation ? Ton entrée à Mokop, avec ton sang si impur. Tes examens trop brillamment réussis. Tes études de DMA. Ton stage de perfectionnement à Londres. Et toute ton implication, ces sacrifices, afin de n’atteindre que ce pour quoi tu avais été mis au monde, là où tes frères avaient eux échoué : devenir un soldat. Tu en étais un, à ta façon. Mais désormais tout était remis en question. L’Organisation, le Tournoi. Tourbillon vacillant qui te donnait des vertiges – tout allait bien trop vite. Tu attrapes le visage de ta future femme entre tes doigts en coupe. Un instant, tu gardes le silence – elle t’observe, surprise mais bienveillante. Tu l’aimes. Oui, au moins est-ce la seule certitude que tu possèdes encore à ce jour. Tu l’aimes. Tu t’empares de ses lèvres avec tendresse. Ce sont les seules paroles que tu es capable de formuler.

Il est si difficile à imaginer qu’il s’agissait là de votre dernier instant de bonheur, du dernier moment passé ensemble dans la paix. Bien vite vous vous trouviez happés par les évènements qui s’enchainaient à une allure folle. À commencer par l’effondrement du Tower Bridge. Et finalement trouveras-tu dans l’horreur et la panique la force de prendre les premières décisions de ta vie. Bien que le Ministère soit effondré, tu ne faillis jamais à ton poste. Et pourtant l’on oublia bien trop vite le nom des héros. Des soldats.


octobre 2056.
« Cheas pitié… » Ta voix n’est qu’un murmure, et entre tes doigts sa main parait être de marbre. Une poupée de porcelaine inanimée. Sa poitrine se soulève-t-elle pourtant, faiblement, mais à un rythme régulier. Tu entends cependant son souffle rauque et sifflant entre ses lèvres blêmes et ses paupières soudées comme par un ciment invisible. Des mois qu’elle a fermé les yeux. Des semaines, toutes plus longues les unes que les autres, qu’elle n’a pas remué les lettres. Pas un mot. Tu lui parles pourtant – seul le silence glacé te répond. C’est le énième hôpital que vous visitez, pas un seul médicomage n’a été en mesure de la guérir. Alors tu l’as ramenée sur sa terre, son refuge : Londres. Les temps sont sombres. La guerre est finie, mais quelque chose de bien plus froid et obscur plane au dessus de chaque sorcier. Tu te sens faible, fatigué – tes pouvoirs le sont tout autant. Quand bien même l’Organisation Secrète a vécu ses derniers instants, ce sentiment inquiétant fait toujours rage en toi. C’est à partir de là qu’elle est tombée malade. « Tu sais Cheas, j’ai l’impression que le pire n’est pas encore arrivé. Il y a eu un attentat, il y a peu. Ici même, à Londres. » C’est un rituel. Vos doigts noués, tu lui parles comme si elle se tenait assise là, rose et fraîche comme le matin. Comme si son teint diaphane n’était pas, comme si ses opales étaient plongées dans les tiennes et que son sourire se muait sur ses lèvres carmin. Comme si la maladie était bien loin de vous. La guerre, la peur, la colère, l’incertitude. Comme si tout ça n’était que souvenirs oubliés.

Tu ne voulais pas qu’elle meurt. Son heure n’était guère encore venue, et tant de choses lui restaient encore à faire. Qu’en était-il d’eux deux ? Tu scrutes vos bagues, le regard perdu. Toujours de la ferraille. La tienne est trop serrée et c’est comme si des milliers de nuées de fourmis couraient sur ton annulaire. Ton cœur se serre. « Matvei Sejdic, le Ministre. Il est mort. » Ta voix s’enraille et tu retiens les larmes furieuses qui perlent contre tes prunelles abyssales. Ne jamais pleurer. Tu l’as juré. « J’ai parfois le sentiment que tout était vain. Notre combat semble perdu d’avance. L’OS est tombée, et pourtant le froid règne toujours. » Tu déglutis, serrant ses doigts rigides entre les tiens. « Mais je n’ai pas peur, parce que je sais que tu… » Tes mots se perdent, tu cherches ton souffles. Engourdie, ta main lâche la sienne, la laissant tomber le long du lit immaculé. Elle s’est perdue. Sa poitrine cesse sa lutte. C’est fini. Tu te penches sur elle, et contre sa bouche, tu susurres alors tes derniers mots. « Tu es là. »

◬ ◬ ◬


Trahison. Quelle amère sensation sur tes lèvres. Le goût du sang. Cela n’a toujours été que le sang et les larmes. Votre appartement est vide et c’est un silence morbide qui a pris possession des lieux. À peine as-tu passé le pas de la porte qu’il t’enveloppe de son sinistre manteau glacé, t’oppressant de sa présence pourtant invisible, transperçant ton cœur déjà meurtri de milliers d’épines. Après tout ce que vous avez fait. Après toute la sueur et la chair que vous avez offert, c’est donc ainsi que vous êtes décorés une fois les barbaries terminées. Pas même une révérence. Le Ministère n’a pas fini de salir l’honneur de ceux qui se sont battus pour la liberté. Tu leur cracherais dessus. Tout n’était que tissu chatoyant de mensonges et d’illusions. Ils vous ont abandonnés. Ils l’ont laissée mourir. Sous tes yeux. Entre tes mains.

L’on dit que le deuil est fait de cinq étapes. D’abord le déni. Puis la colère. Vient ensuite le marchandage, suivi de la dépression. Et enfin l’acceptation. Sans doute avais-tu sauté l’étape du déni. C’était à présent la colère, pour ainsi dire la rage qui t’animait. Plus rien ne comptait. Pas même vos rares photos, seuls instants de sourire, celles de votre mariage, rapidement au bord de la Tamise, les lettes, les papiers griffonnés, ses étoffes, son parfum. Rien n’avait d’importance. Plus rien. Dans un sac, tu lances quelques affaires, sans voir vraiment ce que tu y mets. Et tu le lances sur ton dos. Un jappement. Morown. Tu l’agrippes sous ton bras, il couine. Et tu ne te retournes pas. Pas même lorsque, baguette entre tes doigts tremblants, tu lances l’incantation sans même la formuler de mots. Dans un craquement, la flamme s’éprend de toute chose. Lorsqu’on cherchera le coupable, tu seras déjà loin. Chez toi, sur les terres sauvages de Russie.

phase numéro une : le déni. Désigne le fait de refuser, de façon inconsciente, une partie ou l'ensemble d'une réalité. Le déni peut porter sur un sentiment ou une émotion, mais aussi sur des faits qui se sont produits. Le déni peut être la conséquence d'un choc traumatisant, et permet ainsi de protéger, comme un mécanisme de défense, la santé mentale de la personne. Tu tournes en rond. Un lion en cage. Un putain de félin. Tes pas te mènent d'un bout à l'autre de la pièce, sans but et tu erres, perdu dans le fil nébuleux de tes pensées étriquées. Impossible. Cela ne peut être vrai. Tu hésites. À y retourner. Il faut que tu en aies le cœur net, que tu en sois certain. Peut-être as-tu tout immaginé : sa poitrine s'affaissant, son souffle se perdant une dernière fois dans l'espace, son palpitant cessant sa danse effrenée pour la survie. Rien que le fruit de ta folie, de ta peur incommensurable. Peut-être même s'est-elle réveillée. Non.

phase numéro deux : la colère. Considérée comme une émotion secondaire à une blessure, un manque, une frustration, elle est affirmation de sa personne et sert au maintien de son intégrité physique et psychique ou alors elle est l'affirmation d'une volonté personnelle plus ou moins altruiste. Une colère saine est sans jugement sur autrui. Parce qu'elle peut faire souffrir celui qui l'exprime, elle peut être considérée comme une passion. C'est de ta faute. Tout est de ta faute. La culpabilité te ronge - tu portes tes mains à ton visage, dans tes mèches de cheveux brunes et désordonnées. Tu n'as pas dormi depuis des jours, veillant à son chevet. C'est de ta faute. Ton pas s'accélère. Une liasse de papiers tombe sous ta main tremblante - tu t'en saisis avec hargne, la jettes au sol. Tu pourrais hurler. À t'en faire exploser les poumons, à t'en brûler la gorge. C'est de ta faute.

phase numéro trois : le marchandage. Autre forme de refus de la perte. La personne endeuillée tente de trouver le coupable, transforme la réalité pour accepter ou peut imaginer ce qu’elle pourrait faire pour faire revenir le défunt. Et si vous ne vous étiez pas mêlés de toutes ces histoires. Cette guerre n'était pas la vôtre. Vous auriez pu partir, fuir les horreurs. C'est ça qui l'a rendue malade, cette odeur de mort et de désespoir. Tu n'aurais jamais dû t'approcher d'elle, avec tes grands airs de soldat héroïque, sans doute ne serait-elle pas morte.

phase numéro quatre : la dépression. Cette étape est marquée par le chagrin, le repli sur soi. La personne fait face à la réalité de la perte et éprouve un sentiment de solitude intense doublé de la sensation que personne ne peut comprendre sa détresse. Et maintenant ? Tu es seul. Abandonné par celle que tu aimais, ton unique amie, ta partenaire. Le vide. Comme un creux dans ton estomac, gouffre que jamais tu ne parviendras à combler. Elle aura laissé derrière elle un morceau de chair à vif, écorché, comme si elle t'avait arraché une part de toi-même. Et désormais devrais-tu vivre sans.

phase ultime : l'acceptation. La personne accepte enfin de vivre de nouveau et de se reconstruire. C’est une phase de restructuration mentale et physique. Elle va de l’avant, sans pour autant oublier le défunt et accepte de réapprendre à vivre. Tu dois partir. Tout quitter, c'est mieux ainsi. Laisser derrière toi ces souvenirs de bonheur éphémère et de douleur amère. Pour elle. C'est ce qu'elle aurait voulu. Aller de l'avant. Ne pas sombrer. Jamais.


novembre 2056 à septembre 2057.
Le fouet claque. Encore. Tel un écho qui se répercute sur les parois de pierres de ta cellule. Les cris de rage font sombrer dans la folie. Tes membres endoloris hurlent – tes lèvres restent closes cependant. Ne pas sombrer. Jamais tes terres natales ne te sont parues si hostiles. L’essence écarlate n’a que trop coulée. Liquide chaud se répandant sur ta peau esquintée, roulant sur le sol souillé. Ton sang impur. L’odeur acre de ta trahison baigne tes narines. Tu vas vomir. Tes journées ne sont que tortures, tes nuits agonie. Voilà le prix de votre liberté à tous. Voilà la sentence offerte à la Résistance. À ceux qui s’opposent au Ministère. À ceux qui ose défier le pouvoir. Toi qui t’étais rangé de leur côté, tu te trouves désormais à les combattre. Parce que l’espoir t’a quitté. Parce que c’est juste paiement pour le sort de Cheasly. Et les geôles de Durmstrang seront ton tombeau. Ô terres d’enfance qui ne sont plus désormais que ta prison de verre. Triste ironie. Pourtant tu serres les dents. Tu t’accroches à cette dernière lueur d’espoir. À ce reflet rougeâtre qui sonne comme une vengeance. Sa mort ne sera pas impunie. La révolte est proche tu le sais. Tu n’es pas seul. Tu ne seras plus jamais seul. Et la peur t’a quitté. Tout le reste t’a quitté. Ne reste plus alors que ce cocon vide et froid. Antipathique. La compassion ne fait plus partie de toi. Tout finira dans le feu et le sang. Toujours le sang.

◬ ◬ ◬

La liberté n’avait jamais eu plus amer goût. Dehors le froid te transperça le corps. Mai 2057. Les sévices de la guerre planaient encore au dessus des murs, quand bien même le Ministre retirait ses troupes et signait la Coalition avec le chef de la Résistance. Un beau gâchis. Mais tu n’avais eu que peu de temps de répit. Vite on vint te trouver – trop vite. « Votre dévotion pour la Résistance a été sans nom monsieur Alkaev, je suis très impressionné. » Tu hausses les épaules. Comme si c’était normal. Au fond il t’agace. Jacobson. Tu as le sentiment qu’il a rendu les armes trop vite. « J’ai cru comprendre que rien ne vous poussait à rentrer à Londres. Que diriez-vous de… eh bien rester ici ? » Tu ne réponds rien. Où veut-il en venir exactement ? Tu sens cette pointe d’excitation électrifier ton être entier. Non, tu ne veux pas retourner à Londres. Tout n’est que brouillard morbide en ces lieux. « Un poste de Pacificateur est libre. Ici même. Cela vous permettrait de rester à Durmstrang. Et d’œuvrer pour la Coalition. » Évidemment. Cette idée ne t’emballe guère. Mais s’il s’agit là de l’unique moyen de rester en Russie, alors c’est un choix nécessaire. Un choix que l’on fait pour toi, à nouveau. « Ce serait un honneur… » Tu grommelles. Jacobson se saisit de ta main dans une poignée rude. Il a sentit ton aversion, tu le sais. Et sans doute se doute-t-il de ton dépit. Tu n’en as que faire. Tu acceptes sa proposition en pensant seulement à ce qu’elle a à t’offrir. L’opportunité de rester sur les terres d’hiver, et surtout la possibilité de rester à proximité du gouvernement pour un jour leur montrer ton désarroi et ta colère. Mais tu sais aussi qu’ils garderont un œil sur toi. Vigilance constante. Mais pour ton honneur, tes valeurs, ton amour, tu te sais prêt à tout. Tu n’as plus peur – tu sais qu’elle est là.



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Jeu 14 Aoû - 15:03
malachi alkaev
we all fall short of glory, lost in our fate.

sky comes falling down.
sail with me into the darkness

NOM + Alkaev.
PRÉNOMS + Malachi de son premier prénom, Sveïn, de son second.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE + Date au choix, à Moscou.
ÂGE + Entre vingt-sept et vingt-neuf ans
SANG + Sang-mêlé.
LIEU DE RÉSIDENCE ACTUEL + Londres.
STATUT MARITAL + Au choix.
SCOLARITÉ & EMPLOI + Après une scolarité à Durmstrang (Radgentis ou Pouloudnista) et des études en DMA, il est désormais Langue-de-Plomb.
BAGUETTE + Au choix.
PATRONUS & ÉPOUVANTARD + Au choix.


PIECE OF MIND + franc, direct, courageux, conquérant, réaliste, naïf, déterminé, audacieux, méfiant, réfléchi, confiant, têtu, intelligent, rusé, borné, idéaliste, calme, patient, calculateur.
FORCE + Sa détermination. Lorsqu'il a quelque chose en tête, difficile de lui faire changer d'avis, et il est prêt à tout pour atteindre son but.
FAIBLESSE + Sa naïveté. Il croit facilement tout ce qu'on lui dit, sans vraiment se poser de questions et se retrouve ainsi trop souvent victime de sa tendance à tout gober.
PARTICULARITÉ + Son accent russe à couper au couteau, dont il ne s'est jamais réellement défait malgré les années passées loin de ses terres.
RENOMMÉE + Aucune, sa famille est l'une de celles oubliées, venant des tréfonds de la Russie.
DROP OF BLOOD + famille ▬  Il a toujours entretenu des liens particuliers avec sa famille. La loyauté envers les liens de sang est une valeur fondamentale chez les Alkaev, et jusqu'à présent chacun s'appliquait à respecter cette dernière. Jusqu'au jour où Malachi a été plongé au cœur d'un complot immense, complot pour lequel il a dû trahir ses principes. Cependant, il continue de lancer de la poudre aux yeux de tout le monde et se contrait à rester proche de sa famille, en particulier de ses frères. Il leur envoie de nombreuses lettres, comme pour se laver de sa culpabilité.

escrime ▬   L'une des traditions des Alkaev est le maniement des armes. Ainsi, depuis sa tendre enfance, a-t-il appris à se servir d'une épée et d'un fleuret. Très bon duelliste, il a fait partie de l'élite de Durmstrang pendant sa scolarité. Même s'il s'entraîne beaucoup moins souvent, il rester toujours aussi adroit et rapide.

croyance ▬   Comme toute sa famille, Malachi est très croyant et se rend à l'église orthodoxe toutes les semaines. Contrairement à son frère Maxim, la foi ne l'a jamais quitté, et il porte toujours sur lui un symbole de sa religion.

polyglotte ▬ En plus de parler russe couramment puisqu'il s'agit de sa langue maternelle, il a bien vite assimilé la parole de Shakespeare et possède de très bonnes notions de français.  

breaking over me.
Blame it on my own sick pride.

Malachi est le troisième fils d'une fratrie de quatre garçon. Élevés dans la boue, la sueur et le sang, lui et ses frères n'ont jamais connu le répit, acharnés à se donner corps et âme dans la survie de leur pauvre famille oubliée. Des sang-mêlés - si leur mère était une bonne sorcière, leur père quant à lui était de ces gens qu'on appelait moldu et dont il fallait avoir honte. Un paysan, reclus au plus profond des terres blanches de Russie. Depuis leur tendre enfant, les frères Alkaev avait été éduqués pour devenir des grands gens - pas seulement pour sauver l'honneur de cette famille souillée, mais surtout pour qu'ils connaissent vie meilleure et agréable que celle qu'ils avaient jusque là vécue. Leur mère s'occupait de leur éducation magique - leur père leur apprenait à manier les armes. Et ils furent forgés pour devenir des soldats, des duellistes - des guerriers engagés dans une bataille qu'ils ne connaissaient pas.


Malachi, c'est l'intellectuel. Celui qui réfléchi, qui prend les décisions, contrairement à ses trois autres frères. Moins courageux peut-être, moins téméraire. À quinze ans il est envoyé à Durmstrang, à l'image de ses aînés, où il intégra Radgentis (ou Pouloudnista, à votre convenance). Il était intelligent certes, mais manquait cruellement de rage et de compétitivité pour oser espérer rejoindre les Mokop. Ses études furent brillantes, couronnées de succès. Aussi obtient-il son diplôme avec aisance, après être entré à l'université en filière DMA. Pourtant, il ne veut pas devenir Auror, préférant un métier à responsabilité - il intègre le Ministère, d'abord en tant que stagiaire au Département des Mystères, puis comme Langue-de-Plomb. Ses rêves de succès se réalisent. Au prix de son honneur et de sa loyauté.

La guerre éclate, dévastatrice. Il prend part aux combats, contre l'OS. Le Ministère enroule son pouvoir doucement autour de lui, faisant de lui un simple pion sur un échiquier trop vaste. Il ne se rend compte de rien, participe aux mutineries. Et lorsque l'OS est vaincu, il est trop tard, Malachi s'est définitivement rangé du côté du Ministère. Il en protège les secrets les plus lourds, sans se poser la moindre question. Et lorsque le nom de Cheasly Alkaev apparaît devant ses yeux, il fait mine de ne pas savoir. La femme de son frère, Maxim. Connue pour avoir fait partie de l'OS, sous couverture. Une indésirable. Son assassinat est orchestré. Malachi se trouve plongé au coeur du complot, à son insu. Il camoufle les preuves, masquant le meurtre sous la maladie. Et elle décède. La femme de son frère.

Les mains tachées de sang. C'était comme si c'était lui qui l'avait tuée. Il ne réalise que trop tard son erreur. Lorsqu'il apprend que Maxim s'est ensuite enrôlé dans la Résistance, il ne fait rien pour l'en empêcher, ni ne le dénonce. Parce qu'il comprend son choix, animé par la peine et la douleur. Même s'il est rebuté par les agissements des rebelles, il fait en sorte de couvrir son nom, mettant en péril sa carrière. Mais il lui doit bien ça, et l'impression de se laver de son péché l'apaise. Et la guerre passe de nouveau. Aujourd'hui Malachi se noie dans la culpabilité, mais ne considère pas la République comme responsable pour autant. Il considère que c'était la chose à faire, et aurait juste préféré ne pas être mêlé à ça.

maxim alkaev.

it only takes a spark, to tear the world apart. + Les relations entre Maxim et Malachi ont toujours été floue, mais il n'y avait aucun doute de l'amour que chacun portait à l'autre. Durant leur enfance et une bonne partie de leur adolescence, les trois aînés - dont Malachi faisait partie - se complaisaient à martyriser le plus jeune ; duels à l'épée, confrontations magiques, provocations verbales, parfois même humiliations. Mais cela faisait partie de leur éducation et tous était passés par là avant. Maxim n'en voulu donc guère à aucun de ses frères, au contraire, les remerciant chaque jour d'avoir fait de lui ce qu'il est devenu par la suite. C'est aussi grâce à eux que Maxim fut le seul de la fratrie à entrer au niveau Mokop à Durmstrang.

Le respect et la loyauté envers les liens du sang a toujours été une profonde valeur inculquée dès le plus jeune âge chez les Alkaev. Nulle question de trahison ou d'égoïsme. Les liens entre les quatre frères étaient soudés, même lorsque chacun quitta le nid pour suivre sa voie. Il était courant que Malachi et Maxim s'écrivent, et aujourd'hui encore ils continue de le faire. Leur complicité resta inchangée au court des années, même lorsque Malachi se laissa endoctriner par le Ministère - Maxim ne lui en tient pas rigueur, puisqu'après tout s'agissait-il de son métier et que lui-même était devenu Auror. Jusqu'au jour où Malachi vu plongé à son insu dans un complot sans nom.

Cheasly Alkaev. Tel était le nom de l'épouse de Maxim. Il fit mine de ne rien savoir, de ne pas la connaître. Pourtant la réalité était bien là, sous ses yeux. C'était une indésirable, une partisane de l'OS, et Maxim n'en savait rien. Le Ministère orchestra sa mort - Malachi camoufla les preuves, en bon Langue-de-Plomb asservi qu'il était devenu. Maxim accepta la supposée maladie de sa femme comme une évidence, et Cheasly disparut de la circulation.

Ayant provoqué la destruction de son propre frère, Malachi ne put se résoudre à le dénoncer lorsque ce dernier rejoint la Résistance. Il couvrit son nom, d'avantage pour se laver de cette culpabilité qui lui collait à la peau que par loyauté familiale. Lorsque Maxim fut emprisonné à Durmstrang, ils réussirent à s'envoyer quelques missives. Mais jamais Malachi ne lui avoua sa faute.

Il pensait qu'il s'en sortirait ainsi. Malheureusement, les fantômes du passé finissent toujours par surgir de nouveau, semant le chaos sur leur passage. Et bientôt viendra le jour où Malachi ne pourra plus mentir à son frère.

liz heyllis.

there's no light, no light. + Pour l'instant, ils ne se connaissent pas - ou du moins Malachi prétend-t-il de ne pas connaissance de l'existence de la jeune femme. Pourtant, Malachi a une grande place dans la vie de Liz. Hormis être le frère de Maxim, il a tout simplement son importance dans la mort d'une épouse et d'une sœur. En effet, c'est lui qui s'est chargé d'effacer les traces du meurtre, camouflant l'affaire sous les prétextes d'une maladie. Et le pire est-t-il qu'il savait parfaitement qui était la cible.

Malachi connait toute la famille Heyllis et leurs tristes antécédents et bien qu'il déplore leurs idéaux, il n'avait pas à s'en mêler. Mais c'était son travail de simple pion. Et maintenant qu'il prend conscience de l'horreur et de l’hypocrisie de ses actes, il s'en mord cruellement les doigts.

Aujourd'hui, Liz se charge de rassembler les morceaux du puzzle. Déterminer les réelles circonstances de la mort de Cheasly. Et Malachi sent le danger grandissant et la menace qui plane sur lui, telle une épée de Damoclès. Alors il surveille ses faits et gestes, appréhende ses actions. Il sait qu'elle veut entrer en contact avec Maxim et ferra tout pour que cela ne se produise pas, quitte à monter son frère contre elle. Après tout maintenant, il a déjà tué une fois, même si cette idée lui déplait.

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Jeu 14 Aoû - 15:17
lizbeth heyllis.
and it feels like nothing's gonna tear us down.

million miles away.
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NOM + Heyllis.
PRÉNOMS + Lisbeth de son premier prénom, mais elle se fait appelé Liz. Second prénom au choix.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE + Date au choix, à Londres.
ÂGE + Vingt-trois ans.
SANG + Sang-mêlé.
LIEU DE RÉSIDENCE ACTUEL + Durmstrang.
STATUT MARITAL + Au choix.
SCOLARITÉ & EMPLOI + Après une scolarité à Poudlard (maison au choix) et des études en CM, elle avait pour ambition de devenir linguiste. Malheureusement, avec la guerre et le décès de sa soeur, elle a abandonné ses projets, s'exilant à Durmstrang afin de partir sur les traces de sa mort. Elle s'y est trouvé un petit boulot dans l'un(e) des boutiques/bars du village de bois. (au choix concernant la boutique/le bar)
BAGUETTE + Au choix.
PATRONUS & ÉPOUVANTARD + Patronus au choix & le meurtrier de sa soeur, visage masqué, au dessus de son corps sans vie.


PIECE OF MIND + souriante, manipulatrice, déterminée, obsessionnelle, maniaque, intuitive, rusée, honnête, loyale, franche, combative, pessimiste, calculatrice, généreuse, audacieuse, impulsive, lunatique, bornée, curieuse.
FORCE + Sa capacité de persuasion. Manipulatrice, elle pourrait faire faire n'importe quoi à n'importe qui juste avec de simples mots, une moue adaptée et un coup d’œil subjectif.
FAIBLESSE + Son impulsivité. Elle ne réfléchit pas assez et a la fâcheuse tendance à foncer dans le tas quelles que soient les conséquences.
PARTICULARITÉ + C'est une as du déguisement. Elle sait camoufler le moindre de ses traits pour paraître quelqu'un autre et fait toujours mouche. Elle peut aussi bien se faire passer pour un homme que pour une femme, qu'importe l'âge.
RENOMMÉE + Aucune en théorie, elle vient d'une famille modeste britannique qui n'a jamais réellement fait parlé d'elle. Cependant, en principe, sa sœur était connue des services du Ministère, les Heyllis étant par la suite ajoutés à la liste des Indésirables, mais cette information est tenue secrète par les Langues-de-Plomb.
DROP OF BLOOD +




sherlock holmes ▬  La jeune femme est une vraie détective, aux moyens peu orthodoxes cependant. Elle a cette habitude de fouiner chez les gens, de s'introduire dans les maisons, de poser les questions indiscrètes qui mettent mal à l'aise. Mais ce qu'elle recherche, elle l'obtient, et aucune des affaires sur lesquelles elle s'est penchée n'a été irrésolue. Pour l'instant, elle n'a traité que de petites énigmes, et elle se lance désormais sur les traces de la mort de sa sœur.

polyglotte ▬ Suite à ses études en CM et son désir de devenir linguiste, Liz parle couramment plusieurs langues : l'anglais évidemment, le russe, le français, l'italien, le japonnais, le troll, l'elfique et elle comprend quelques mots dans la langue des êtres de l'eau.

alcool ▬ Lizbeth est très portée sur la boisson, pour de mauvaises raisons. Si elle raconte à qui veut l'entendre que c'est parce que ses capacités spirituelles de réflexion et son intuition sont décuplés par les vapeurs brûlantes du whisky, c'est plutôt en réalité qu'elle a du mal à se remettre des pertes tragiques qu'elle a vécues ses derniers mois. Sans pour autant être ivre à longueur de temps -ce qui n'est jamais le cas, personne ne l'a retrouvée saoule, elle boit modérément, mais souvent-, elle se balade néanmoins avec une flasque de la boisson ambrée, qu'elle cache dans sa botte.

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Née dans une famille anglaise d'origine mêlée, même si ses deux parents sont sorciers. + Les Heyllis sont connu pour leur fibre révolutionnaire. Longtemps dans l'histoire de leurs ancêtres, ces derniers ont été jugés pour trahison, violence et revendications. Leur implication dans l'Organisation Secrète est certaine et ses parents étaient surveillés par le Ministère. + Elle a une sœur de deux ans son aînée, Cheasly. + Son enfance et son adolescence sont relativement libres, à toi de les agrémenter. + Elle fait ses études à Poudlard, comme toute sa famille avant elle. La maison est au choix. + Fainéante, elle n'est pas une élève très brillante et disciplinée, bien qu'elle soit remplie de bonne volonté et de curiosité. + Elle est passionnée par l'Histoire de la Magie et les Langues Étrangères. + Dès ses ASPICs difficilement passés et obtenus, elle se dirige vers des études universitaires en Civilisation Magique, elle veut devenir linguiste. + Cependant, l'échec du Tournoi des Trois Sorciers, les massacres de l'OS et du Ministère et l'insécurité permanente la troublent dans ses études. + Le décès de sa sœur, dont elle était très proche depuis l'enfance, finit de l'éloigner de l'école. Elle ne finit pas sa troisième année de CM et abandonne ses projets professionnels. + Lorsque la Résistance se met en place à Durmstrang, elle n'hésite pas à se joindre aux rebelles. Elle est farouchement opposée au Ministère depuis trop longtemps, et c'est l'occasion d'affirmer son mépris et ses idéaux. + Une fois la guerre passée, elle reste à Durmstrang, décidée à enquêter sur la mort de sa soeur, qu'elle pense être une assassinat. + Elle était au courant de l'appartenance de Cheasly à l'OS et est certaine que c'est pour cela qu'elle est morte, sous prétexte d'une maladie. + Elle a pour projet de prendre contact avec le mari de Cheasly, Maxim, qu'elle n'a jamais rencontré auparavant, dans le but de lui poser des questions.

maxim alkaev.

it only takes a spark, to tear the world apart. + Ils ne se sont jamais rencontrés, du moins pas encore. Maxim était le mari de la sœur de Liz et pourtant, chacun ignorait tout bonnement l'existence de l'autre. Et la raison en est simple : la vie de Cheasly n'était qu'un tissu de mensonges. Identité falsifiée, faux nom, entrave totale sur sa famille et sa vie d'antan, elle était une femme secrète et discrète, ainsi Maxim n'a-t-il jamais posé de questions. Et pourtant, sans doute aurait-il.

Une Indésirable, voilà ce qu'elle était. Surveillée par le Ministère à cause des antécédents de sa famille et son implication dans l'OS, elle a tout bonnement fui ses responsabilité, se cachant sous le nom de Maxim pour épargner sa famille et disparaître des yeux des autorités. Elle l'aimait, il n'y avait aucun doute à ce sujet. Mais elle profitait clairement de l'avantage à porter son nom et a toujours tout fait pour qu'il se range de son côté. Contre le Ministère. C'est ce qu'il a fini par faire.

Lorsque Cheasly est morte, Maxim s'est échappé à Durmstrang pour y rejoindre la Résistance. En même temps, Liz abandonnait ses études en CM et débarquait sur les terres russes pour les mêmes raisons, cherchant pour la même occasion des réponses sur le décès de sa sœur, avec qui elle avait gardé contact par hibou lorsqu'elle vivait à Londres avec Maxim.

Grâce à ses mauvaises habitudes de fouineuse, Liz finit par déterrer les secrets que sa soeur s'était appliquée à dissimuler. Sa nouvelle identité, ses actions contre le Ministère, la surveillance qu'on lui accordait, son mari aveugle mais aimant... Tout s'est éclairé. Après de maintes recherches, elle retrouva la trace de Maxim, et se décida à s'installer définitivement au village du bois tant qu'il serait sur place. Pour l'instant, elle l'observe, espionne ses habitudes, griffonne sur son carnet chaque détail, chaque geste, chaque mimique, chaque mot échappé d'entre les lèvres du Russe. Elle attend le bon moment, celui où elle l'abordera et lui crachera au visage toute la vérité. Il le mérite, et elle a cruellement besoin de lui et de ce qu'il sait.

malachi alkaev.

there's no light, no light. + Pour l'instant, ils ne se connaissent pas - ou du moins Malachi prétend-t-il de ne pas connaissance de l'existence de la jeune femme. Pourtant, Malachi a une grande place dans la vie de Liz. Hormis être le frère de Maxim, il a tout simplement son importance dans la mort d'une épouse et d'une sœur. En effet, c'est lui qui s'est chargé d'effacer les traces du meurtre, camouflant l'affaire sous les prétextes d'une maladie. Et le pire est-t-il qu'il savait parfaitement qui était la cible.

Malachi connait toute la famille Heyllis et leurs tristes antécédents et bien qu'il déplore leurs idéaux, il n'avait pas à s'en mêler. Mais c'était son travail de simple pion. Et maintenant qu'il prend conscience de l'horreur et de l’hypocrisie de ses actes, il s'en mord cruellement les doigts.

Aujourd'hui, Liz se charge de rassembler les morceaux du puzzle. Déterminer les réelles circonstances de la mort de Cheasly. Et Malachi sent le danger grandissant et la menace qui plane sur lui, telle une épée de Damoclès. Alors il surveille ses faits et gestes, appréhende ses actions. Il sait qu'elle veut entrer en contact avec Maxim et ferra tout pour que cela ne se produise pas, quitte à monter son frère contre elle. Après tout maintenant, il a déjà tué une fois, même si cette idée lui déplait.

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